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Les chiens d'Orléans.
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Les chiens d'Orléans
L’origine de cette expression est totalement incertaine et diverses explications demeurent.
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La statue équestre de Jeanne d'Arc, place du Martroi est l’œuvre de Denis Foyatiers, mais la mairie d’Orléans fut indélicate pour régler le solde de cette commande à Denis Foyatier. Ce dernier, s’empressa de faire savoir à tous que les Orléanais, mauvais payeurs, était des chiens.
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Le massacre de la rue des Pastoureaux, qui laissa la population indifférente, fit écrire au 13e siècle, que les Orléanais étaient des chiens.
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Durant la guerre de 100 ans, se référant au chien des fusils ou canons des Orléanais, les Anglais utilisaient ce terme pour les qualifier.
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Aucun écrit ne se rapporte, semble-t-il à l’utilisation courante des attelages à chien, très usités autrefois dans la région d’Orléans.
Petite histoire des voitures à chien
La voiture à chien était un moyen de transport peu coûteux utilisé jusqu’à la fin de la seconde guerre mondiale. Elle était utilisée par les écoliers qui habitaient loin et différents corps de métiers : Militaires, laitières, fermières, boulangers, facteurs, ramasseurs de bois mort, etc. L'attelage à chien ressemblait à un attelage de cheval miniature. Les voitures étaient construites par le charron (fabricant de charrettes) ou l'utilisateur avec des matériaux de récupération. Les différentes tailles dépendaient de son usage.
Dans la réglementation, le chien devait avoir une taille minimum de 50 cm. Il s'agissait souvent d'un bâtard de forte corpulence pouvant tracter 80 kg. Mais la Société protectrice des animaux (SPA) s'inquiéta des mauvais traitements infligés aux bêtes et, en 1925, le code de la route interdit la circulation des attelages à chien.
L'élévation du niveau de vie, ainsi que l'arrivée du cyclomoteur et de l'automobile, contribuèrent aussi à la disparition progressive de ce mode de déplacement. Le Loiret était l’un des départements où l’on comptait le plus de voitures à chien.